J’ai une certaines préférence pour les femmes comme Hélène. Les femmes rebelles, les femmes libres, les briseuses de code, les émancipées. Femme émancipée cette expression si jeune et qui cause tant de palabres dans les émissions télévisées plus qu’elle n’en devrait. Pour moi, l’expression « femme émancipée » ne renvoie qu’à une chose : le genre de femme qui peut coucher avec un homme sans attachement, sans se sentir abusée, sans s’interroger sur les attentes de la société… Une femme qui vit pleinement sa sexualité. Vivre pleinement ta sexualité, femme. Le conseil parfait que la plupart des femmes peinent encore à mettre en pratique. C’est vrai que j’aime les femmes couvertes. Mais il n’y a pas longtemps que j’ai fait d’une de mes découvertes un petit poème : Il existe en chaque femme un chemin dé-robé qui mène au paradis. Un chemin dé-robé. Car finalement, aucune robe ne sied plus parfaitement à une femme que sa propre peau. Mais avez-vous déjà pris le temps de c
Car il faut comprendre certaines choses dans le jeu d’amour : c’est un jeu qui se déclare en silence, d’un regard, d’un parfum, d’une parole empreinte d’ambiguïté, d’un geste et même parfois à l’insu de l’une des parties engagées. Si mes ancêtres ont découvert le feu, dans ce salon où j’ai rencontré Hélène, j’ai compris qu’on pouvait jouer avec. Dans le jeu de la séduction, il y a certaines règles qu’il ne faut pas enfreindre. Certaines sont particulières, d’autres sont universelles. Les femmes aiment les garçons d’expérience, ceux qui sont sûrs d’eux et qui ont une pointe de perversité camouflé sous leur bonne manière. Ajouter à cela, lorsqu’il faut séduire dans des salons, certaines connaissances comme la peinture, la littérature, le cinéma, etc. peuvent être un bon atout. Mais la chose qu’il faut surtout savoir et qu’il ne faut jamais oublier, c’est que les femmes aiment être bien traitées. Pourtant, dans un premier temps, il faut être indifférent face à la femme qu’on ten