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Affichage des articles du 2020

Comment nos ancêtres s'essuyaient-ils le cul après avoir déféqué ?

  Enfant du 20ème et du 21ème siècle, nous jouissons de nombreuses technologies de pointes qui nous facilitent les tâches de tous les jours. Grandis dans une telle aisance à cause de toutes les technologies que nous jouissons, parfois nous nous demandons comment faisaient nos prédécesseurs sans toute cette technologie. Mais posons-nous une question simple : comment les hommes s'essuyait le cul après avoir déféqué dans le temps ? Nous nous proposons de vous expliquer. À une époque de l'histoire l'homme a donc remarqué que l'homme était le seul animal à se salir le cul après avoir déposé le bilan. Donc il fallait trouver un moyens de s'essuyer. Mais il n'y a aucun écrit de la préhistoire ou avant la civilisation grecque qui nous rapporte comment on s’essuyait avant. C’est dans les écrits du poète satirique Grec du Ve siècle avant Jésus-Christ appelé Aristophane qu'on retrouve les premières traces de cette pratiques : « Trois pierres peuvent suffire pour se to

Le doigt d'honneur, d'où vient cette fameuse pratique ?

  Si vous vivez en occident, que ce soit pour exprimer votre colère, votre mécontentement ou pour insulter tout simplement, vous avez sans doute déjà levé votre majeur à l'encontre d’une personne ou une personne vous l'avez déjà adressé. Ce geste plus ou moins atypique (communément appelé « zwens » en Ayiti) a pourtant plus de 2000 ans d'histoire. Vous êtes vous déjà questionné sur son origine ? Nous vous invitons donc de voyager avec nous dans l’histoire jusqu’à l’origine de ce geste ancré dans notre quotidien. Les origines. Le premier doigt d’honneur de l’Humanité fut effectué en 423 av J-C en Grèce, dans la comédie “Nuées” d’Aristophane. C’est très précisément Strepsiade, un des personnages de la pièce qui l’utilisa pour mimer son phallus. C'est la première trace écrite du doigt d'honneur. Le doigt d’honneur a donc une connotation comique et non injurieux. Il ne devient une insulte qu’avec Diogène le Cynique au 4ème siècle avant JC. Lorsque des passants lui deman

"Je n'ai confiance en personne ": Les origines et les solutions.

 « L’expérience prouve que celui qui n'a jamais confiance en personne ne sera jamais déçu », a dit un jour le fameux peintre photographe scientifique Léonard de Vinci. Il est vrai que la méfiance pratiquée à petite dose et à bon escient nous épargne de quelques tracas. Mais il ne faut pas non plus oublier que nous sommes des êtres sociaux, et que sans confiance aucune relation amicale, amoureuse, professionnelle… n'est possible. Pourquoi certains ont-ils assez de mal à se confier aux autres ? Selon Christophe André , psychiatre cognitivisme, « on peut dire qu’il y a deux types de personnes : celles qui font a priori confiance et celles qui sont méfiantes a priori. » Autant conclure que la méfiance n'est pas une pathologie. Mais, appliquée de manière excessive et systématique, elle condamne celui qui en souffre à l’isolement et à la solitude. D’après le psychiatre, « cette phobie sociale apparaît chez les personnes de tempérament hypersensible. » Vulnérables et fragiles, ell

Je vous écris depuis le 21 ème siècle

 Je suis au 21ème siècle. En 2020 pour être plus précis. Je vous écris mes chers prédécesseurs de n'importe quel siècle que vous avez vécu pour vous donner les nouvelles de ce monde dans lequel j'ai eu l'honneur et le malheur de vivre. J’avais déjà écrit aux innocents du futur pour les supplier de ne pas venir, et maintenant c'est à votre tour. Que je vous dise comment vous devez être heureux de ne pas vivre dans le monde que je connaisse. Je m'adresserai à Martin Luther King en premier lieu. Le rêve que vous avez eu cher pasteur, je suis navré de vous le dire, ne s'est malheureusement pas réalisé. Un noir a été président des states, mais la situation des noirs n'a toujours pas évolué. Aux states, ils tombent chaque jour sous les bals de la police et la justice ne se sent pas concernée. Le monde s'enflamme et la communauté noire se soulève à chaque injustice contre les noirs, mais hélas ! Je voudrais vous dire ce qu'on a fait de vos formules physique

La liberté d'expression, un droit fondamental bafoué dans les établissements scolaires haïtiens.

 Des lois ont été votées, des guerres menées, des vies perdues… Pourquoi ? Pour un droit humain des plus naturels : La liberté d'expression. La liberté d'expression est ce droit que tout homme possède de manifester ses idées par la parole, l’écrit, l’imprimé, et toutes les techniques modernes de télécommunication. Les peintres, les chanteurs, les  journalistes font partie de ceux qui ont le plus besoin de ce droit pour assurer leur survie puisque leurs métiers en dépendent. La liberté d'expression est légalisée en Haïti, mais ne dépasse pas le seuil de la constitution, car pour se faire taire tous les moyens sont bons : du pot-de-vin à la mort. À l’école les punitions sont réservés pour ceux qui parlent trop : de l'expulsion d’un cours jusqu’à l'expulsion définitive de l’établissement scolaire. Ainsi depuis l’école, ce droit bel et bien garanti par la constitution haïtienne et dans la déclaration universelle des droits de l’homme, est bafoué. C'est une violation

Les couleurs: pas si inoffensives que ça.

Il était rouge de colère, Il a les idées noires, les bleus de l'âme… toutes ces expressions ont une chose en commun : une couleur. Que ce soit à la maison ou n'importe où ailleurs, nous sommes entourés de couleurs. Du firmament azuré à l'infinie nature verte, les couleurs ont toujours eu une place importante dans notre vie. « Les goûts et les couleurs ne se discutent pas », dit-on. Mais et si les couleurs ne servaient pas simplement à décorer notre domicile selon notre goût particulier ? Et si elles avaient des effets sur notre personnalité ? La chromathérapie. La chromathérapie est une thérapie chinoise qui consiste à soigner les gens simplement avec les couleurs. Cette thérapie traditionnelle se base sur les effets de la couleur sur nos émotions pour apporter au patient une solution. Vu qu'on a longtemps associé émotions et couleurs, les scientifiques ont réussi à montrer les effets des couleurs sur l'homme. Le rouge. Le rouge est souvent associé à l&#

Être jeune c'est aussi être incompris

La jeunesse dont nous parlons, c'est la période qu'on appelle souvent période de folie où nous subissons un tas de changements tant physiologiques que psychologiques. Dans cette période particulièrement fragile,  il se trouve que nous nous sentons incompris. Dans beaucoup de cas, ce n'est pas un simple sentiment, c'est un fait. Ce que nos aînés nomment âge de folie ou période de folie n'est pour nous qu'une période de tâtonnements et d'une quête de soi. Le brin de folie qui existe dans cette période particulière de notre vie ressemble à tous ces tâtonnements scientifiques avant les découvertes que nous connaissons aujourd'hui. Nous allons tous admettre que si les communautés scientifiques n'avaient pas eu le soutien collectif de l'époque, elles n'en seraient pas là aujourd'hui. Alors la jeunesse est comparable à ces moments de ténèbres où qu'en plus nos tâtonnements, nous avons besoin de soutien. Parce qu'il est clair que sans le

La menstruation, une incarnation du mal dans l'antiquité.

La menstruation est un phénomène physiologique caractérisé par un écoulement sanguin périodique (règles) dû à l’élimination de la muqueuse utérine, se produisant chez la femme, lorsqu’il n’y a pas eu fécondation, de la puberté à la ménopause . Cette réaction physiologique utile à la fécondation a été pourtant dans le temps un supplice pour la femme au cour de l'histoire. Comment les femmes vivaient-elles ce moment ? Dans les civilisations égyptienne et grecque, les femmes étaient considérées comme les égales de l'homme. Donc à cette époque les règles étaient donc considérées comme normales. Les égyptiennes utilisaient déjà des sortes de tampons (des bouts de bois entourés de tissus) pour retenir le sang. Chez les grecques, il y avait aussi une pratique similaires. Elles offraient même des tampons à la déesse de la fécondité, Artémis, pour attirer sa grâce afin de les rendre fertiles. Tampons utilisés dans l'Égypte et la Grèce antique. Dans de d'autres so

En Haïti, on espère sauver une année scolaire qui n'a pas eu lieu.

Vu la conjoncture critique du pays liée au « pays lock » et à la crise de la Covid-19, l'année académique vit un moment difficile. L'État et certains établissements scolaires tentent à tous les coups de la sauver en tentant la scolarisation à distance, mais le manque d'appareils numériques et la pénurie d'électricité rendent les choses encore plus difficiles. Depuis plusieurs mois, les autorités du pays parlent d'une éventuelle réouverture des classes afin de sauver l'année académique.  On a même fixé une date : Le 3 août prochain. Beaucoup de personnes n'y croient pas.  Ainsi l'ex-ministre de l'éducation nationale Nesmy Manigat a prononcé ces mots dans un article du nouvelliste : « Tout faire pour ne pas perdre l’année  scolaire, j’y croyais en novembre dernier. » Alors nous, nous pensons que cette année académique doit être tout simplement reportée pour l'année académique prochaine. Pour y arriver, nous proposons alors un modèle : _Garder

L'histoire se répète et rien n'est nouveau.

« Rien n'est nouveau sous le soleil », le roi Salomon devrait sûrement prononcer ces mots à la suite de plusieurs années d'observation, mais c'est étonnant que ces paroles restent vraies jusqu'au 21ème siècle. Bien que l'homme ait beaucoup progressé aujourd'hui, notamment les progrès techniques, notre moralité, nos actions face aux phénomènes inexpliqués rappellent très souvent l'histoire. Ainsi au temps de la Covid-19, on parle encore de la peste noire et de la grippe espagnole, des épidémies qui en comparaison à la Covid-19 montreront que l'homme n'a pas trop évolué. Alors relevons des points historiques précis qui montrent des points de ressemblance marquants entre ces trois pandémies. Une grippe saisonnière bénigne. La grippe espagnole est ainsi appelée parce que c'est la presse espagnole qui a parlé première de cette grippe. Jusque-là aucun média du monde n'avait osé de révélé l'existence d'une épidémie à la population. L

L'absence de nos parents, un sujet tabou, alors on en parle.

Alors pourquoi tout ce luxe ? Toute la vie se résume à la quête de l'argent et la recherche de pouvoir. Une autodestruction bien organisée à laquelle l'homme n'a pu s'échapper. Mais qu'est-ce que l'homme face à tout cela ? Toute cette réflexion passe dans la tête de Louise, mais ainsi valse la vie. Puis pendant un moment elle pensa à sa mère. Cette femme au mental de guerrière qui se tue sous ses lourds fardeaux à la recherche du pain quotidien pour sa progéniture. Elle s'autodétruit afin de construire un avenir pour ses enfants. Un beau contraste, n'est-ce pas ? « Je veux qu'ils fréquentent des gens de valeur, des gens que la société respecte », répète t-elle souvent. Alors oui ! Ils connaîtront ces gens-là, mais les connaîtra t-elle ? Ils la connaîtront eux même ? Alors c'est à cela que se résume la vie des gens pauvres ? Louise comprend mieux pourquoi les pauvres traitent souvent leurs enfants d'ingrats. « Ils nous connaissent pas

Devant "M", "B" et "P", on doit mettre "M", Pourquoi?

La langue française représente beaucoup de disparités entre l'écrit et le parlé. Ainsi ce qu'on dit en parlant n'est souvent pas écrit mot pour mot. L'assemblage des lettres « Eau » est par exemple prononcé « O », « Photo » est prononcé « Foto », etc. Mais s'il y a une règle de cette langue qui m'a attiré l'attention c'est la règle qu'on appelle par mnémotechnie , la règle Mbappé qui demande qu'on met toujours « devant M, P et B un M. » Mais pourquoi ? Nous vous invitons à lire la suite pour trouver la réponse. Cette règle qui paraît être arbitraire n'a pourtant rien d'arbitraire. Tout le secret réside dans les langues qui servent de base au français : le latin et le grec. Cette disparité aurait alors existé dans ces langues, ancêtres du français. Voici alors l'explication de l'académie française : « Ces trois lettres, m, b et p, sont des labiales, c’est-à-dire qu’elles sont articulées au niveau des lèvres, tandis que

Nous sommes des hommes, Victimes quand même.

Partout dans le monde, dans l'inconscient collectif, lorsqu'on parle de violence conjugale on fait souvent référence aux violences commises par les hommes à l'encontre de leurs conjointes. Donc même si l'occident se dit démocrate, dans presque tous les pays de l'Europe et des Amériques, il n'y a aucune institution qui prend en compte la violence conjugale que les hommes subissent. Il y a des ministères partout pour prendre en charge les femmes maltraitées sans se pencher sur la possibilité que les hommes peuvent subir le même sort. Qu'est-ce qui cause une telle disparité ? La raison c'est que partout dans le monde, l’homme est associé à la force, l'endurance, la violence… Un homme ne doit pas être un pleurnichard. Le fait qu'on a grandi dans cette philosophie, l'homme est devenu la représentation de la violence. Donc l'inconscient collectif a donc conclu que les hommes n'ont pas besoin de protection. Pourtant chaque année se

Les réseaux sociaux: un véritable appât de la vie privée et sociale.

Le désir de se faire connaître, l'envie d’être populaire, l’appétit de se faire accepter, apprécier et aimer sont les marques de fabrication de notre système aujourd'hui. Sur internet grouille un fourmillement de personnes qui cherchent gloire et admiration. Dans cet univers où tout le monde voudrait être vu, même la vie privée est attaquée. Certains ont même finit par ne plus avoir de vie, une famille et des amis réels. Certains ne peuvent même plus tenir un travail fixe. Leur vie est devenue digitale. Nous sommes enchaîné par les réseaux sociaux. Depuis l'invention de l'internet, nous vivons à l'époque la plus connectée de tous les temps. On estime qu'en 2019, dans le monde entier, qu'on a passé en moyenne six heures et quarante-deux minutes sur internet par jour. Les Français passent en moyenne quatre heures et trente-huit minutes sur internet par jour. Et le Singapour est en tête de liste avec dix heures en moyenne par jour. Au Canada, les jeunes entre 2

L'auteur et le narrateur, deux personnages différents liés par une belle complicité.

Une narration, exposé écrit et détaillé d'une suite de faits, dans une forme littéraire est la forme d'écriture la plus répandue sur la planète de nos jours. Les romanciers et les nouvellistes pullulent dans tous les coins du globe. Mais aussi longtemps qu'on a à lire des récits, beaucoup de gens (des gens qui lisent) sur la planète ne savent pas faire la différence entre le narrateur et l'auteur. Qui est le narrateur ? Et l'auteur, qui est-il ? Comment les différencier ? Autant de questions importantes qu'on prendra le soin de répondre dans le présent article. L'auteur. L'auteur c'est la personne qui écrit l’histoire. C'est une personne réelle, qui vit dans la vie réelle. Le narrateur. Le narrateur est un personnage fictif, un personnage d'encre et de papier, c'est la voix que l'auteur utilise pour raconter l'histoire. En conclusion, l'auteur n'est pas le narrateur. La différence entre eux c'est que le premier écrit l

Le monde confiné, nos livres en quarantaine.

Les activités durant le confinement sont vraiment restreintes. Les jeunes s'ennuient d'avoir demeuré trop longtemps chez eux. Certains se consacrent au jeux vidéo, aux jeux éducatifs et d'autres activités. D'autres que nous côtoyons s'adonnent aux réseaux sociaux comme Facebook, Twitter, Whatsapp et Instagram. Alors qu'ils s'adonnent à toutes ces autres activités_que nous ne jugeons pas mauvais_ils abandonnent systématiquement leurs livres. C'est depuis la fermeture provisoire des classes que les élèves ne trouvent plus l'importance d'ouvrir leur livres d'école (Nous disons livres d'école, parce que nous admettons qu'il y a une minorité qui lit des romans et d'autres livres qu'ils trouvent intéressants, mais ça n'empêche pas qu'il y a une majorité qui n'ouvrent tout simplement aucun livre). Ils se demandent d'ailleurs à quoi bon de le faire puisque les contrôles ne sont plus de mise. Ce problème est lié au fait

Les dieux dans les royaumes antiques.

Ça fait une décennie depuis que la Grèce assiège Troie sans pouvoir rentrer et exécuter les gens. Et soudain, elle eut l'idée de construire un grand cheval de bois et la mettre devant le portail de la petite ville en faisant croire que c'est un cadeau de la déesse Héra. Au matin lorsque les troyens sont sortis de la ville et ont vu le cheval, ils crurent rapidement que c'est un cadeau de la déesse et ils l'ont fait entrer dans la ville. Et la nuit, pendant que tout le monde dormait et qu'il n'y avait plus de grec au portail ( car ils ont fait semblant d'être frappés par la déesse Héra) les soldats grecs soldats grecs sont sortis du cheval et on prit la ville d'assaut. Ils ont tué, couper des têtes… et finalement, ils ont brûlé Troie. La petite ville bien autoritaire qui faisait face à la Grèce s'est éteinte en une nuit à cause sa foi en une déesse : Héra. Quelle était la place des dieux dans les royaumes antiques ? Les Dieux. Les dieux ont toujours e