Ce texte est une fiction. Donc il ne fait pas référence à une quelconque expérience sexuelle que j'ai vécu. J'ai fait l'usage de la première personne afin de créer plus d'émotions.
_Tu fais exprès de porter cette culotte ?
_Qu’est-ce qu’elle a ma culotte, me questionne t-elle.
_J’aime sa personnalité !
Elle rit puis fronce les sourcils.
_Elle a une personnalité ma culotte ?
_Je déteste qu’elle me dise non.
Puis nous éclatons de rire tous les deux.
Je suis assis sur son lit, éperdument observateur face à cette fée qui s’habille. La lumière de la lampe de sa table de chevet est si sombre qu’elle lui donne l’apparence d’un interdit.
En culotte et en soutien-gorge, elle se coiffe sensuellement devant le miroir et danse avec subtilité sur cette musique « Mete m alèz » de Dan Junior, à peine audible. Qu'elle danse bien !
Mais ce soir, comme toutes les autres nuits d’ailleurs, nous n’allons pas baiser. Ce n’est pas encore le moment, me dit-elle souvent. Mais quand ? Tout ce que je sais c’est que je vais rester encore une fois sur ma faim. Cela m’énerve !
Elle tourne me regarder d’un œil enjoué. Elle imagine à quoi je pense. Elle me fait un clin d’œil tout en pinçant sa lèvre inférieure. Elle sait à quoi elle joue.
_Tu vas arrêter de faire ça ? Lui dis-je.
_Quoi ?
Je lui lance un regard mi enjoué mi sévère.
_J’n’ai pas l’droit de me pincer les lèvres ?
_Tu connais quel effet cela me fait.
_Du calme beau gosse !
Elle m’adresse un dernier sourire tout en passant une élastique dans ses cheveux afin de se faire une queue de cheval.
Sa culotte putain ! Pourquoi toutes les culottes ne disent-elles pas les mêmes choses ? Chaque culotte a une personnalité propre, une conception, son énergie particulière, son propre pouvoir d’influence… Bizarres comme celles qui les portent ! Mystérieuses comme elle !
Finie de se coiffer, elle enfile son jean le plus moulant mettant en évidence ses courbes. Taille fine, ses fesses s’arborent fièrement dans son jean. L’observant en soutien-gorge, je me suis rendu compte à quel point ses seins sont ronds et son ventre plat.
_Où m’emmènes-tu ce soir monsieur ?
_Au septième ciel madame.
_Wow ! T’as une navette spatiale ?
Elle me regarde avec un petit sourire en coin, l’air heureuse d’avoir l’impression de marquer un point. Je lui souris aussi.
_Nous en bâtirons les ponts madame.
_Je vois bien que monsieur fait bon usage de Francis Cabrel !
Puis nous sortons de sa chambre. Nous traversons le salon peint en blanc et en céramique blanche rappelant vaguement une asile de fou. Les meubles rappellent vaguement le moyen-âge et des tableaux de collection de tous genres qui nous plongent dans les rites du vodou haïtien sont accrochés presque sur toute la surface des murs. Ceci ressemble plus à une galerie d’art qu’un salon.
Nous contournons le canapé installé prêt de la porte de sa chambre. Elle marche devant moi tout en me tenant par la main. Je jouis du spectacle que m’offre ses fesses et la peau de ses hanches que son court T-shirt ne recouvre pas. Silencieux. Elle se retourne pour voir si je suis toujours là et profita de l’instant pour poser un léger baiser sur ma bouche. Que ses lèvres sont exigeantes !
Son baiser met en même temps une autre partie de mon corps en activité. Elle l’a sent contre son ventre. C’est du bois ! Elle la touche d’une manière enfantine et fait semblant d’être surprise. Je me mords la lèvre inférieure à ce contact sexo-digital.
_Hé ! Du calme mec !
Cela l’amuse de me faire ça. Elle sourit et vient me chuchoter quelques mots à l’oreille.
_Si les culottes pouvaient parler, celle que je porte en ce moment te dirait que je suis mouillée.
Je la regarde d’un œil inquisiteur. Mais elles parlent !
_Littéralement trempée monsieur.
J’allais la prendre dans mes bras quand elle a pris la direction de sa chambre. Fesses mouvantes et clairement heureuse.
_Bon ! Je vais changer de culotte. Toi tu restes là. D’accord ?
Je ne réponds pas. Cette fille est l’incarnation parfaite d’excitation et d’autorité. Rempli d’excitation, je me dirige vers sa chambre. Elle est assise sur son lit en soutien-gorge et en petite culotte.
Une petite culotte en forme de V qui laisse passer les poils du flanc de son sexe. Le tissu de sa culotte est léger, blanc, presque transparent, portant une inscription en rose que je n’arrive pas encore à lire. Mais vu la façon qu’elle lui va à merveille, cette culotte sait décidément parler. Et en ce moment elle me dit : « Baise-moi bébé. »
En me voyant entrer, elle se lève et m’approche. Elle dépose ses bras sur chacune de mes épaules et joint ses mains derrière ma tête. Elle m’embrasse fiévreusement. Nous faisons l’amour.
Elle m’embrasse comme si c’était une première. Elle passionne comme si c’était une dernière. Elle incruste sa langue dans ma bouche jusqu’aux angles les plus reculés. Nos lèvres sont littéralement clamser l’une contre l’autre. Je sens sa main me caresser le visage et pénétrer mes cheveux. Ses mouvements me disent : « Je te veux en moi. »
Je reçois ses saccades avec subtilité et excitation. Sa peau est chaude, fine…enfin ! Je n’ai jamais touché une aussi douce peau. Ses lèvres sont douces et font oublier le monde. Je m’agrippe à elle, rentre mes doigts dans la chair de ses fesses tout en inspectant chaque coin de sa bouche ; aucune saveur ne m’échappe. Mon sexe est du bois.
Je la pousse sur le lit où elle tombe sur le dos, me donnant ainsi la possibilité d’admirer ce corps aussi parfaitement construit. Les parties sont parfaitement proportionnelles. Je me baisse à ses pieds pour lui enlever ses Converses qu’elle portait encore.
Nous sommes seuls dans cette chambre. Seuls dans toute la maison. Une bougie comme unique témoin. Nous deux. Presqu’en costume d’Adam. Fini de lui retirer ses tennis, je l’admire encore couchée sur le dos. Culotte et soutien-gorge. Quelle créature ! En l’admirant, mon attention se porte sur l’inscription que porte sa culotte : My dad will kill you. Son père peut me tuer !? Je fronce les sourcils. Elle éclate de rire.
_Au moins cette culotte est claire, me dit-elle.
_M…moi, je dirais controversée.
_Monsieur est têtu !
_Comme la culotte de madame qui me supplie de la baiser tout en me menaçant de mort.
Elle se pince sensuellement la lèvre inférieure tout en me faisant des yeux doux. Elle est en feu. Elle se lève et me tire vers elle sur le lit. Elle me tient en inertie ou sous hypnose en me regardant droit dans les yeux.
_Mon père peut entrer à n’importe quel moment.
_Que me suggères-tu madame ?
_Des serviettes pour t’essuyer. Haha ! Il n’y a pas que les culottes qui savent parler hein !
Merde ! Je me suis Sali. Mais je m’en bats les couilles. J’embrasse son corps jusqu’à son entre cuisses. Sa tête est penchée par derrière, les lèvres ouvertes, elle balbutie quelques mots non audibles. Puis je reprends de son entrecuisse jusqu’à ses lèvres tout en prenant bien soin d’inspecter chaque coin de cette merveille de la création. Elle gémit frénétiquement. Ses lèvres ne veulent pas encore me lâcher. Qu’elles sont têtues ! Elles sont chaudes. Douces. Dans cette instant d’ébats et de pulsions hormonales, je lui siffle à l’oreille :
_C’est de préservatifs dont j’ai besoin madame, pas d’une serviette.
_Mais tu es chez-moi, répond-elle, étonnée.
Je fais trois pas en arrière avec un air d’étonnement. Ses yeux sont interrogateurs.
_Décidément tes culottes sont trop bavardes. Mais tu mouilles !
Elle m’adresse un regard empli d’admiration.
_Au moins je t’aurais prévenu. Ma culotte aussi.
_J’ai des penchants suicidaires madame.
Je souris.
_Et puis quelle manière bizarre qu’utilise ta culotte pour me prévenir ! En mouillant !?
Elle sourit puis se lève. Je lui donne deux petites tapes dans les fesses.
_Aïe !
_Va chercher les capotes bébé !
_Les ? s’étonne t-elle l’air complice.
_Les.
Quand elle revient, elle se met debout en face de moi, les mains levées au niveau de ses épaules, tenant chacune un emballage en plastique aluminium. Elle mordille sa lèvre inférieure et entreprend une danse lascive qui me met hors de moi. Elle se caresse le corps, de ses fesses jusqu’à ses seins. Elle descend les bretelles de son soutien-gorge et les fait glisser doucement le long de ses bras ; et m’offre le spectacle de deux pommes bien rondes qui ne cherche qu’à se faire croquer.
J’assiste, depuis le lit, à cette danse érotique. Mais elle continue en faisant tomber sa culotte. Elle l’a fait d’abord glisser doucement sur ses cuisses tout en saccadant les hanches, suçant l’index et massant ses seins. La culotte est à ses pieds. Elle la retire dans l’un de ses pieds et me la lance à la figure avec l’autre. Elle m’a fait sauter. Je l’ôte de mon visage et je la hume un instant ! Wow ! Que tu sens bon mon amour !
Maintenant elle s’approche de moi telle une tigresse prête à bondir sur sa proie. Tant pis pour son père ! Mon godemichet ne demande qu’à sortir de mon caleçon. Je patiente. Avec l’index de sa main droite, elle me pousse doucement. Je tombe sur le dos. Elle me chevauche doucement. Elle m’ôte mon caleçon. Ma bite se lance droit devant elle.
_Hô ! Du calme tonton !
Je souris et ferme momentanément les yeux. Je la laisse me posséder. Je l’entends déchirer l’un des emballages avec ses dents et déroule le préservatif sur mon pénis. Et doucement, sans trahir sa sensualité, elle s’assoit dessus. Je me glisse doucement à l’intérieur d’elle. Le moment est divin !
Mon pénis est fait sur mesure. Je suis plongé dans une cuvette de liquides visqueux. Elle dépose ses mains sur mon estomac tout en maintenant sa cadence. Elle se soulève et se rassoit doucement, la tête penchée en arrière et les yeux fermés. Tantôt elle se soulève, tantôt elle se rassoit, tantôt elle se déhanche ; à sa guise et à la vitesse qui lui convient.
Puis dans quelques minutes, nous changeons l’Andromaque en missionnaire. Je me plonge encore dans sa cuvette chaude et ténébreuse. Je sors et je rentre à ma guise tout en m’accrochant à la tête du lit ; tantôt plus vite, tantôt plus lent. Elle crie mon nom dans tous les sens : Hash, Hash, Hash…
Puis je m’écroule sur elle. Je me retire doucement, le membre mou et la capote remplie de sperme. Je la prends, j’en fais un nœud et la jette par terre. Je me roule doucement sur elle afin de me coucher à ses côtés. Son visage s’illumine. Elle me regarde d’un œil admirable et empli de reconnaissance. Je lui pose un baiser dans les cheveux.
_Je t’aime Hash !
Je la regarde, étonné.
_C’est maintenant que tu me le dis !?
_Je ne savais pas encore à quel point que tu pouvais être divin !
Je lui fait un clin d’œil.
Divin ? Wow ! Je m’en doutais. J’ai eu envie de passer la nuit avec elle et d’utiliser l’autre capote lorsque j’ai jeté un œil à sa culotte. My dad will kill you ! Je me lève donc et m’habille rapidement. Je la regarde enveloppée dans le drap. Elle est angélique. Elle me souffle un baiser. Je lui fait un clin d’œil en guise d’au revoir.
Mais avant de partir, je prends sa culotte, je la plie et la range dans l’une de mes poches arrières. C’est mon trophée. Je me souviendrai toujours combien elles peuvent être bavardes.
Très beau texte , je kiff
RépondreSupprimerJ'en ai bavé...👏🏿👏🏿👏🏿👏🏿👏🏿👏🏿👏🏿
RépondreSupprimer🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥🔥Mw pa konn kòman pou mw diw ke u fò, bèl bout liy frè pam , klasik, yow text la extra, Ultra, Mega bèl frè🔥🔥🔥🔥👌
RépondreSupprimerJe suis une grande lectrice,mais C'est la scène la plus érotique que j'aie jamais lu,dommage que Hash n'ait pas eu le temps d'utiliser la deuxième C...
RépondreSupprimerC'est génial !
RépondreSupprimerC'est génial !
RépondreSupprimerThat's wonderful🔥🔥🔥
RépondreSupprimerThat's wonderful🔥🔥🔥
RépondreSupprimerGenial
RépondreSupprimerGenial
RépondreSupprimerTop
RépondreSupprimerJ'adore le texte
RépondreSupprimerUne culotte à la fois éloquente et polyglotte !
RépondreSupprimerUn texte tout à fait , carrément Godson.
Bravo Reuf!
J'aime
RépondreSupprimerLes culottes ne sont plus muettes!
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